- Leto Côté noir 歌词
- Maître Gims Leto
- Twenty twenty
Takeshi-San Le 75 reprend c'qui lui est dû de droit Mmh, capitaine, capitaine (hey), capitaine C'est les rues sombres de Beriz La misère, les terrains d'zipette qui débitent (la zipette) Peut-être que comme 2Pac et Biggie, j'vais perdre la vie dans ma putain d'gova (roh) Quand on arrive c'est nous qu'on voit, ttez-ma le convoi, les racailles ont trop faim (ttez-ma) J'ai la parole d'un Lannister (oui) et le courage de Jon Snow (tah) On les éteint, ils reviendront jamais, j'suis en attaque comme Luis Suárez (wow) Audemars, Rolex, quelle vie (quelle vie ?) ? Sine-cui, sine-cui, Bruce Lee (mmh) On ramasse, on ramasse, on ramasse (on ramasse) On progresse, tu régresses, dommage (c'est dommage) On résout l'équation, on veut des vivres et des femmes à foison J'allume ta grand-mère, tu vas rejoindre Satan C'est le 1.7.1 en pétard (pétard) C'est en pétant l'œil des autres très puissant (ah) Vodka, Red Bull, c'est le poison Tellement de haine, de peine, de douleur Tellement d'oseille, ma plaie se referme J'y vais de pied ferme, rempli d'ambition Que Dieu nous sépare si t'es bizarre (Double Bang) J'ai les poches pleines d'oseille dans le pantalon Amiri, Amiri, Amiri Glock d'Amouno Konayo, c'est tout c'que tu mérites, tu mérites, tu mérites J'réponds que par des victoires pour les ennemis, ennemis, ennemis L.E.T.O, W.A.R.A.N.O éliminent, éliminent C'est les côtés noirs de Beriz (noir, noir, noir, noir, noir) C'est les côtés noirs de Beriz (noir, noir, noir, noir, noir) L.E.T.O, W.A.R.A.N.O éliminent, éliminent C'est les côtés noirs de Beriz (noir, noir, noir, noir, noir) Double Bang J'suis attendu comme le refrain, j'arrive à pied comme un putain d'riverain Prie l'ciel pour qui n't'arrive rien, matraque les crânes comme TF1 (zid) Ton taff de merde, ça mérite un : "Bien vu l'bon samaritain" (zid) Pour la concu', j'suis au petit soin, pfiou pfiou pfiou sous le coussin (zid, zid, zid) Je sais qui tire les ficelles, j'en ai trop vu, ils vont m'faire et tu l'sais, ouais tu l'sais, hein Mais pas avant d'avoir élucidé les Pyramides de Gizeh J'dors mais j'trouve pas le repos (zid), je soigne mes plaies à la Rambo Cheval noir, Alexandro, Audemars Piguet, Rimbo Le ient-cli revient toujours (toujours), obligé d'charger la Peugeot (zid, zid, zid) Ça va pas l'faire, comme un ssiste-gro sous les projos T'es dans la chambre, il est trop tard, obligé d'retirer tes sapes (hey) Et j'arrive en silence comme la dernière Tesla (zid) J'ai fait tomber quelques principes (mmh), quelqu'un les a ramassé (zid) Ce monde est sans pitié car même le nain doit se baisser Pour tuer l'vampire, ouvre les rideaux, Belzébuth dans le rétro' C'est la crise comme au rectum (zid), la fin du monde dans un rectangle (brr, brr) Selon la ménagère, l'projet va marcher (zid) Déposez toutes vos armes, j'veux pas tout gâcher J'suis du côté passager, l'doigt sur la gâchette Mon gars d'V.L.G tah Kobayashi (Twenty twenty) J'ai les poches pleines d'oseille dans le pantalon Amiri, Amiri, Amiri Glock d'Amouno Konayo, c'est tout c'que tu mérites, tu mérites, tu mérites J'réponds que par des victoires pour les ennemis, ennemis, ennemis L.E.T.O, W.A.R.A.N.O éliminent, éliminent C'est les côtés noirs de Beriz (noir, noir, noir, noir, noir) C'est les côtés noirs de Beriz (noir, noir, noir, noir, noir) L.E.T.O, W.A.R.A.N.O éliminent, éliminent C'est les côtés noirs de Beriz (noir, noir, noir, noir, noir) Double Bang Noir, noir, noir Paris centre, Ze-art Paris 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15 17, 18, 19, 20 (zid, zid) J'ai les poches pleines d'oseille dans le pantalon Amiri, Amiri, Amiri Glock d'Amouno Konayo, c'est tout c'que tu mérites, tu mérites, tu mérites J'réponds que par des victoires pour les ennemis, ennemis, ennemis L.E.T.O, W.A.R.A.N.O éliminent, éliminent C'est les côtés noirs de Beriz (noir, noir, noir, noir, noir) C'est les côtés noirs de Beriz (noir, noir, noir, noir, noir) L.E.T.O, W.A.R.A.N.O éliminent, éliminent C'est les côtés noirs de Beriz (noir, noir, noir, noir, noir) Double Bang Mmh, mmh, mmh Noir, noir, noir Noir, noir, noir Noir, noir, noir Noir, noir, noir Takeshi-San
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